Odeurs
Lisbonne,1827
Le parfum des vergers plantés d’orangers et de citronniers flottait à l’instar d’un nuage tandis que nous passions devant les jardins des Quintas . (James Edward Alexander, « Sketches in Portugal during the Civil War of 1834 », in : « Lisbonne – histoire, promenades, anthologie & dictionnaire « , Robert Laffont, coll. Bouquins, Paris, 2013, p. 333.)
Lisbonne, 1866
La promenade publique, un jardin long et étroit au milieu de la ville, est éclairée au gaz, le soir, et on y donne des concerts. Les arbres en fleurs dégagent un parfum pénétrant, donnant l’impression de se trouver chez un marchand d’épices ou chez un confiseur en train de préparer et de servir des glaces à la vanille. (Hans Christian Andersen, « Oeuvres complètes », in : « Lisbonne – histoire, promenades, anthologie & dictionnaire « , Robert Laffont, coll. Bouquins, Paris, 2013, p. 344.)
Toucher des sols
Lisbonne, 27 juin 1821
J’ai été très désappointée de ne pas trouver ici d’endroits où l’on puisse se promener à pied, lorsque la chaleur diminue à la fin de la journée. Les cailloux pointus et mal dégrossis dont le sol est pavé, sur plusieurs milles autour (et il n’y a pas de dalles lisses pour marcher à pied), l’absence totale de section herbacée ou gravillonnée. (Marianne Baille, « Lisbonne dans les années 1821, 1822, 1823 », in : « Lisbonne – histoire, promenades, anthologie & dictionnaire « , Robert Laffont, coll. Bouquins, Paris, 2013, p. 323)
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